SPARNATRAIL / Dimanche 14 novembre prochain
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Calendrier des courses de la Marne
Dimanche 17 octobre 2021
Marathon de PARIS 42.195 km 27082 arrivants
7308ème | Jean-Louis FOSSIER | 3h 41’09 » |
7502 | Adrien DUHAMEL | 3h42’02 » |
Dimanche 17 octobre 2021
Trail de la Translomagnole LAVIT (82) 19.5km 88 partants
20ème | Frederic AMELIN | 1h41’21 » | 1er ESH |
Dimanche 17 octobre 2021
Trail des 2B LE TOUQUET (62) 42 km 119 arrivants
98ème | Yves HUBERT | 5h08’32 » |
Jeudi 21 au dimanche 24 octobre 2021 Grand Raid de La Reunion
Grand Raid de la Réunion La Mascareignes 72 km 3900m+ 1215 partants
754ème | Caroline LECOURT | 20h 04′ 45 » |
RECIT DE CAROLINE
HORRIBLE !!! PLUS JAMAIS CA !!!
Voici l’état d’esprit dans lequel j’étais en franchissant la ligne d’arrivée au stade de la Redoute.
Mais quelle aventure !!!
A commencer par le retrait des dossards où l’on fera la queue 2h pour récupérer le fameux sésame, puis l’attente du bus qui nous emmène de Saint Denis à Hellbourg, le lieu de départ de la course qui arrivera avec 1h30 de retard.
1h du matin, dans une ambiance survoltée de discothèque, le départ est donné. Shirley prend le départ avec moi.
On m’avait prévenue que les chemins étaient techniques et difficiles, c’est au-delà de ce que j’avais imaginé ; les pierres succèdent aux marches, les montées succèdent aux descentes et ainsi de suite, le tout sous un soleil bien présent.
Vers le 40ème km, je sens mon mental s’envoler, et au bout de quelques kms, je propose à Shirley de profiter de sa course sans m’attendre ; je n’ai plus de jambes, j’ai mal aux pieds, un mental sur off, je finis par me convaincre dépitée que ce ne sera pas possible de finir. Arrivée au ravito de la Possession au 49ème km, je suis à bout. Je décide de me poser, de me ravitailler et SURTOUT d’envoyer un SOS aux copines, … les retours seront immédiats, encouragements et messages de soutien arrivent en rafale, le mental revient, je reprends la route. Je finis cette aventure en 20h04mn et 45s. Exténuée mais riche d’une aventure humaine extraordinaire. Une découverte de soi et de ressources insoupçonnées.
Merci à tous pour vos encouragements et messages de sympathie. UN GRAND MERCI aux copines qui m’ont boostée et menée vers la ligne d’arrivée.
Et qui sait, peut-être que finalement … j’y retournerai
Pour Thierry, ce sera un jour sans. Malade depuis le matin, (excès de piment ?), il prendra néanmoins le départ de la course jeudi à 21h. Mais dès les premiers kilomètres, la forme n’est pas là, il parcourra tout de même 73km et 3800m d+ avant de rendre son dossard. N’ayant pas envisagé qu’il soit de retour avant moi et n’ayant qu’un jeu de clés, je le retrouverai endormi sur le palier de l’appartement vendredi soir. CAROLINE
La Diagonale des fous 160km 9400m+ 2419 partants
498ème | Romain JAEGER | 43h07’32 » | |
705 | Jean-Claude PAROLI | 45h40’02 » | 1er M7H |
1668 | Thomas DEBRECENI | 60h37’53 » |
RECIT de ROMAIN
Jeudi 12h, dernière bière avant de partir le soir. 21h coup de fusil pour les 5 kms les plus courts de ma vie. L’ambiance est si folle sur ce départ que la notion de temps est devenue relative car je cours à 6’30 » au kilo.
Je vais taper dans chacune des mains de mois de 10 ans, soit plusieurs centaines. C’est génial, je pleure beaucoup, je pense à mes enfants, l’émotion est énorme de voir autant de gens nous encourager. Ce départ comme cette course, c’est certain je m’en souviendrai toute ma vie.
S’en suivent une quinzaine d’heures où finalement ma seule inquiétude était de savoir si Shirley et Caro sur le parcours de la Mascareignes allaient venir à bout des barrières horaires qu’elles craignaient tant.
Chose faite, plus qu’à me servir de ma fierté pour ce que vient de réaliser Shirley sur son premier dossard (si si….😉) et dérouler une partition que par chance aucune embûche ne viendra perturber.
En effet de la chance, il en faut aussi ces jours là. L’arrivée sur le mythique stade de la Redoute ce sera encore une vingtaine d’heures d’admiration de la faune et du paysage plus tard et la joie d’y retrouver Shirley ainsi que les copains du club.
Voilà une aventure qui te marque à vie, c’est certain.
Le terrible niveau technique me rend perplexe quand à l’envie d’retourner et admiratifs de certains fêlés capable d’y revenir pour la cinquième fois.
Remarque…la fameuse dodo n’est pas bonne au début et pourtant à force on retourne en chercher au bar ..…😀🍺 ROMAIN
RECIT de THOMAS
Après deux ans à attendre le départ de cette mythique Diagonale des fous voilà l’heure de dresser le bilan :
On m’a dit « la Diag finalement ce n’est que 3 fois le Sparnatrail avec un peu plus de dénivelé et de chaleur »
On m’a conseillé de m’entrainer dans des escaliers…
On m’a préconisé de partir cool « tu as 66h devant toi, ne te laisse pas emporter dans l’euphorie des premiers km »
Le jour J pour mon premier Ultra j’ai vite compris que certains avait raison et d’autres avaient sous vendu la difficulté de cet ultra (ce qui n’est pas plus mal pour se rassurer avant départ)
Essayer de résumer une course de 60h en ascenseur émotionnel et physique n’est pas chose aisée :
Premier objectif : finir ce grand raid
Deuxième objectif : en moins de 45-50h
Jour J : installés dans le bus qui nous emmène au point de départ à Saint Pierre (1h de retard un classique réunionnais ) , la tension monte d’un cran : Titi Lecourt palpite, Romain Jaeger se met dans sa bulle et moi je me concentre gentiment en vérifiant mentalement le matériel dans mon sac pour la dixième fois.
Le départ est donné à 21h sous une ambiance de folie ,ces 7 premiers km seront inoubliables , une ambiance qui n’a rien à envier aux arrivées d’étape du tour de France par ex.
La première partie de course jusqu’à Mare à boue se passe très bien sur un rythme vraiment prudent , j’ai le privilège de faire une photo avec Monsieur Laurent Jalabert.
Je suis très bien et confiant jusqu’à cette fameuse descente du kerveguen hyper technique voir dangereuse qui nous amène à Cilaos(65ème km) : mes S lab glissent de partout et je perds beaucoup d’énergie et de temps.
(Ayant eu des difficultés à trouver LA bonne paire de chaussure avant de partir à la Réunion je n’ai qu’une seconde paire de secours au 120ème km, j’ai hâte de changer car elles commencent vraiment à taper)
Montée du Taïbit très longue sur laquelle je croise Thierry qui malheureusement n’a pas pu poursuivre son aventure : notre guerrier, notre brute épaisse se vengera
La descente dans la nuit jusqu’au 100ème km jusqu’à Grand Place commence vraiment à faire très mal et je ne supporte plus mes chaussures.
Chaque ravitos se transforme en un soulagement, en étape supplémentaire d’accomplie , et sur chaque je prends le temps de retirer chaussures, chaussettes, me remettre de la crème et me masser les pieds
La seconde nuit fut fraiche , j’ai dormi une trentaine de minutes, on ne compte plus les coureurs emmitouflés sous leur couvertures de survie partout dans les sentiers
Cette question m’est revenue plusieurs fois : « tu dors quand et où ? » la réponse est : quand tu veux et à l’endroit qui te parait le moins pire sans penser aux bestioles qui peuvent trainer à proximité…
Fin de nuit et début de la montée de Roche plate : à ce kilométrage et avec la fatigue accumulée elle fut pour moi la plus interminable, « petits pas petits pas » je me suis répété x fois.
Des marches , des marches et des marches à n’en plus finir.
Un soleil de plomb envahi les cirques et il faut gérer l’hydratation ,se rafraîchir dans des rivières dès que possible.(pas de Maïdo cette année mais je ne sais pas si c’était mieux, car c’était franchement copieux)
Le gros ravito situé jusqu’au 120ème sera un calvaire à atteindre, je ne supporte désormais plus du tout mes chaussures et mes plantes de pieds me lancent et brulent.(les pieds bouillis disent les locaux)
Je m’étais dit arrivé à ce stade tu ne peux pas lâcher !
Massage, changement complet de tenue (une résurrection pour mes pieds qui malheureusement sera de courte durée )
La montée de Dos d’âne se fera de nuit et se passera plutôt bien malgré les pourcentages important , on revient peu à peu à la civilisation avec une ambiance toujours à 200% des locaux(musiques, chants, danses …)
Quelques appels pour me redonner le moral et c’est reparti gonflé à bloc
Arrivé dans la descente de Ratineau en direction de la Possession : ce n’est plus du trail et je me retrouve à faire tarzan avec des lianes , branches et tout ce qui me passe sous la main pour m’aider au maximum à descendre.
Ma frontale fait des sienne sur cette portion mais heureusement Shirley David viendra à ma rescousse pour m’apporter une batterie neuve , elle me retrouvera allongé sur un trottoir au bout de ma vie.
Elle m’a redonné une grosse énergie mentale et m’a accompagnée jusqu’au début du Chemin des Anglais (140ème km) : une montée redoutée de beaucoup mais qui finalement me paraitra plus facile que prévue ,
s’en suit la descente nommée Grande Chaloupe qui est la même chose en descente mais pour le coup c’est plus traumatisant pour les pieds et jambes (des pierres/pavés dans tous les sens….)
Pour terminer avec le digestif : le COLORADO une montée et une descente qui me finira aux petits oignons , je commence à voir trouble à cause du manque de sommeil (contraint de faire une pause à 200m d’un ravito pour détendre mes petons , no comment…)
je termine à moins de 2km/h de moyenne dans cette descente et je me retrouve avec tous les derniers rescapés boiteux ; écorchés ; blessés à bout etc avec en point de mire le stade de la redoute qui se montre enfin…
Arrivé sur le stade mythique en 60h37min (dont 1h20 de sommeil) : la délivrance et je verserai ma petite larme
Finisher de cet Ultra trail et fier de l’être, l’épreuve d’une vie
Bravo à Romain Jaeger, Jean-Claude Paroli (Grand raid), caroline Lecourt et Shirley David(Mascareignes) tous Finisher
En trois mots sur cette diagonales des fous :une ambiance énorme, des panoramas exceptionnelles et un terrain très technique qui pousse dans nos retranchements.
Remerciements:
Ma chérie qui n’a pas beaucoup plus dormi que moi , ma famille , amis , proches, les marnais sur place : vos messages, appels étaient plus que bienvenus
Merci à Cyril et Jen de nous avoir aidé dans notre logistique
Merci à la belle famille de Jean-Claude pour son hospitalité et sa gentillesse, et Sully désolé de t’avoir fait attendre !
Mon ami et équipementier Nicolas Colin et sa famille (top photo) THOMAS
Après 1997, 2002, 2015 et 2017, 5ème édition sur cette Diagonale des fous avec à chaque fois des parcours modifiés.
Dimanche 17 : Départ de Roissy CDG avec ma fille Céline et Jean-Fabrice pour 11h d’avion (un calvaire…) et arrivée à St Denis lundi matin. Récupération de la voiture et direction l’hôtel « Le Nautile » à La Saline les bains ». l’arrivée quelques jours avant la course nous permet de nous adapter un peu à la température (28° à 30° tout le séjour).
Mardi 19 : Une dernière sortie de « réveil musculaire » en famille à St LEU : 9km 830m+……segment strava ….« Le témor » !
Mercredi 20 : Remise des dossards à St Pierre……2h d’attente, il faut faire avec, ce sont les îles, ils sont cools …..Dans la foulée direction la plage pour un pique imprévu avec la famille de Jean-Fabrice….inoubliables ces traditionnels pique niques, Thomas qui nous accompagnait s’en souviendra….
Jeudi 21 : J’évite les plus de 2h de bus plus les 1h 1/2 d’attente et les éternels bouchons pour me rendre au départ grâce au beau père, résident sur l’île de Jordan (collègue de Jean-Fabrice inscrit sur le bourbon) qui m’amènera le plus tard possible et le plus près possible du départ……soit des heures de fatigue en moins avant la nuit.
Une fois dans le parc fermé, je n’ai pas retrouvé parmi les 2500 coureurs Thierry, Romain ni Thomas, nous étions dans des sas différents.
20h50 : Je pars vers la ligne de départ dans la 1ère vague.
21h : départ de la Ravine blanche sur le long boulevard du front de mer……Je retrouve la folie, l’hystérie, les musiques locales, les feux d’artifice, les cris des enfants, les encouragements des milliers de spectateurs…..c’est unique au monde…..je ne m’habitue pas, sur ces 5 km, je suis transporté dans un flot d’émotion!!
Puis nous quittons la ville et c’est parti pour 38 km qui vont nous emmener au parking aire Nez de Bœuf à 2000m
Montée agrémentée de descentes plus où moins techniques. Sachant la chaleur annoncée en journée, je profite de cette 1ère nuit pour prendre une paire d’heure d’avance, sans me mettre dans le rouge, afin de gérer plus calmement dans le cirque de Cilaos.
Lever du jour, la nuit s’est bien passé, il n’a pas fait froid, je suis resté en tee shirt et le resterai toute la course contrairement aux éditions précédentes.
Redescente dans la plaine des cafres où le paysage avec ses pâturages ressemble beaucoup à la Normandie. Ravitaillement à Mare à boue (km 48) et direction le coteau Kerveguen à 2206 Mètres. Même s’il n’y a que peu de boue, je glisse beaucoup avec mes chaussures sur les pierres et racines mouillées et je vais donc être très prudent dans la descente plutôt aérienne où le risque de chute est important dans le coteau Kerveguen vers Cilaos.
Km 65 : j’arrive au cœur du cirque de Cilaos (altitude 1200m) où comme d’habitude il fait très chaud et depuis le début de la course je bois beaucoup (uniquement de l’eau plate) . J’ai déposé un sac avec du change, chaussures et ravitaillement……Suite à une erreur de classement, je vais attendre 20′ pour récupérer mon sac !!!!……restons calme. Je troque ma paire de HOKA pour les SPORTIVA mes chaussures habituelles de trail…..rien d’autre et c’est reparti pour 10 km où je sais que je vais souffrir de la chaleur.
De Cilaos , une descente de 300 m- jusqu’à la cascade Bras Rouge avant de remonter 350m+ plein soleil jusqu’à la route d’îlet à Cordes. Petit ravito boisson avant la montée du col Taîbit 700m+ jusqu’à 2080m.….en mode ralenti.
Après le col, on entre dans le cirque de Mafate en amorçant une descente technique de 400m- vers Marla.
Une fois dans le cirque de Mafate, nous allons parcourir plus de 35km, sans possibilité d’abandon.…..dans Mafate (environ 900 habitants répartis sur les différents îlets ), il n’y a aucune route, il faut en sortir par ses propres moyens …...hélico en cas de blessure grave…..
Le cirque de Mafate que je vais courir en partie de nuit a été très très dur techniquement aussi bien dans les montées que dans les descentes…..pierriers, marches, racines en continu !! Beaucoup de réunionnais « râlaient » pour avoir remplacé il y a quelques semaines la déjà difficile montée du Maîdo les années précédentes par cette succession de difficultés interminables et de rivières à gué !!
km 79 : altitude 1520m …franchissement de la ravine Kerval, de Bras Massine et la rivière des galets.….et pieds dans l’eau quand on rate les rochers !…..ça ne va pas être sans conséquence pour les ampoules .
Ascension vers la plaine des Tamarins (1755m) puis col des bœufs (2010m), plaine des merles (1883m), sentier scout (1634m)……..j’en passe…..rivière des galets (km 102, 559m) avant de remonter à la brèche (km109, 1293m) …..où on va finir de sortir de Mafate et descendre vers l’océan sans pouvoir éviter la très raide montée de Dos d’âne.
Ces sentiers dans le cirque m’ont usé et au fur et à mesure des kms et des passages dans l’eau , des ampoules sont apparues et je commence sérieusement à avoir mal au talon droit, mes chaussures sportiva n’étant pas assez amortissantes pour ce type de terrain on ne peut plus minéral.
Deux bras (km 120) 2ème base……. Merde….., je n’ai pas mis de chaussettes de rechange.….tant pis ce sac ne m’a pas servi…… je repars.
J’envoie un SMS à Monique pour qu’elle m’apporte une paire de chaussettes à la Possession (km136) car j’ai de plus en plus de mal à poser le talon par terre et la marche va s’imposer pour les 24 derniers kms car avec mes 2 paires de chaussettes….aucune amélioration qui m’aurait permis de trottiner.
Pleine journée à la Possession…et pleine chaleur pour affronter le terrible « chemin des anglais » 9km d’une montée et d’une descente sur des pavés de lave noire, chauds et disjoints.
Retour en bord de mer à la Grande Chaloupe (altitude 7m) pour la dernière montée de 700m+ vers Colorado ( et vidéo rencontre avec Patrick Montel ex journaliste sportif de France télévision). descente en forêt de…..700m– que je n’ai pas trop mal géré en descendant les rochers sur l’avant pied.
J’arrive juste avant la tombée de la nuit au stade de la Redoute ……Une arrivée toujours aussi émouvante. Caro, Shirley, Thierry et Romain m’encouragent et m’accueillent à l’entrée du stade, Monique m’accompagne en courant jusqu’à l’arrivée……….rincé mais heureux.
Cette 5ème diagonale est pour moi la plus aboutie. Aucun problème d’hydratation ni digestif : que de l’eau plate, bouillon salée aux pâtes et une pomme à chaque ravito…..plus une une pâte de fruit quand la faim se faisait sentir (bon signe car la digestion s’était bien passée) en attendant le prochain ravito en évitant l’hypo……NICKEL). Côté physique, fatigue musculaire générale et inflammation des talons qui va guérir rapidement……pas grave, nous avons tous une part de misères sur cette course hors du commun.
Merci à vous tous pour vos encouragements………Merci aux organisateurs et bénévoles qui nous ont fait vivre des heures, des jours et des nuits de pur bonheur dans des sites à couper le souffle (aux oubliettes les moments de doute et de douleurs)……Merci à Monique qui assure et suit parfois avec anxiété la nuit……sa fille, son gendre et moi dans la montagne qui n’est jamais sans danger……..
Echantillon de mes photos de course
Tout le long de la course…..accompagnateurs, feux de camp, musique …….et ravitaillements sauvages…… lever de soleil à Mare à Boue CILAOS On mets les pieds où ??? Les vignes de Cilaos Les points d’eau et les rivières sont les bienvenus pour nous rafraichir Un peu de temps à retrouver mon sac Cilaos….c’est reparti Route îlet à corde avant la montée du Taîbit, arrêt de Thierry qui prudemment n’est pas monté vers Mafate Petite collation offerte par des locaux chaque année…….tisane aux géraniums + plusieurs autres plantes dont je n’ai pas retenu les noms Délicieux On quitte le cirque de Cilaos pour Mafate Marla celle-ci n’a laissé passer personne !! t’as de beaux yeux !!! C’est parti pour une bonne séance ….. Quasi impossible de courir sur plusieurs kms (fougère arborescente) Allez plus qu’un km de supplice ….. sentier scout Nombreux passages à gué …….parfois on rate les pierres….bain de pieds assuré On quitte Mafate …..pour repartir vers l’océan
l’ Après course ….
Cirque de Mafate vu du Maido IL n’y pas que le Carry et Rougaille…… hôtel Le Nautile, sa plage, son lagon……sans requin…. Port de St Gilles les bains Le Street Art…….ils aiment Cascades Langevin Le lagon et la barrière de corail Bof !!! Merci à la famille de Jean-Fabrice pour son accueil chaleureux Prochaine éruption pour quand ?? Mafate du Maîdo Hum…….. Spectacle sur la ravine….. ….et le lagon…. Céline et Jean-Fabrice….après la Mascareignes et le Bourbon……c’est la Diagonale ????
Dimanche 24 octobre 2021
Les dix vins LA LONDE les MAURES (83) 21.1 km 313 partants
32ème | Jérôme THOMAS | 1h 42′ 38 » |
Samedi 30 octobre 2021
Ultra Race ANNECY (74) 110 km 6600m+ 447 partants
136ème | Nicolas COLIN | 23h 18′ 13 » |
Voilà c’est fait Finisher sur L’ULTRA RACE d’Annecy.Ça n’a pas été facile et merci pour tout vos messages d’encouragement, sans je ne serais pas aller au bout Maintenant repos, et on attaque le nouveau projet RUN GREEN NICOLAS
Maxi Race 84 km 5000m+ 869 partants
214ème | Julien PETIT | 15h39’35 » |
Bon bah c’est fait, et pas trop mal fait avec une sciatique ! … 15h39 de course ! … Avec un rajout de 5 km a cause d’un col fermé, ça fait 87 km et 5100 d+ Et que dire de mon équipe de choc… Merciii !Un cameraman officiel et ma douce qui m’a bichonner au passage aux stand de Doussard , ils ont trop assuré ! Très belle course mais difficile par son terrain très accidenté… je ne connaissais pas si compliqué en terme d’appuis… La porte des 100 km est ouverte pour les prochains Et Maintenant repos, JULIEN
Samedi 30 octobre 2021
Trail’loween NOUVION sur MEUSE (08) 32km 136 arrivants
22ème | Fabrice MORALES | 2h 58’21 » | 1er M5H |
35 | Jean-Louis FOSSIER | 3h06’23 » | |
36 | Guy GESCHWINDENHAMMER | 3h 06′ 23 » | |
42 | Adrien DUHAMEL | 3h13’12 » | |
106 | Céline LUCAK | 3h49’40 » |
Dimanche 31 octobre 2021
MARSEILLE – CASSIS 20km 12658 arrivants
3423ème | Carole GENET | 1h 47′ 19 » | |
6736 | Karine ELLNER | 1h 59′ 25 » | |
8701 | Christian LHOTTE | 2h 07′ 54 » | |
8739 | Francis RENOIS | 2h 07′ 54 » | |
11385 | Virginie RENOIS | 2h 28′ 58 » | |
11686 | Nicole LHOTTE | 2h 30′ 11 » | 3ème M7F |
Très sympa cette course . On a eu de la chance d’avoir un temps plus que correct contrairement à ce qui était annoncé. Quelques gouttes le matin comme tu peux le voir mais juste avant le départ.
Un peu de vent quand même sinon c’était pas drôle .
Super ambiance pour ce mythique Marseille Cassis ! KARINE
Dimanche 31 octobre 2021
½ finale championnat de France de cross LE CREUSOT (71) 9850m 43 partants
10ème | Florent PAROLI | 36′ 46 » | Qualifié France |
En quelques mots : très beau parcours pour cette demi finale du championnat de France de cross au Creusot (regroupant les régions Grand Est et Bourgogne Franche Comté). Pour ceux qui connaissent, il ressemblait au parcours du parc de champagne à Reims. 5 boucles pour plus de 9km à parcourir, sur un terrain entièrement enherbé, avec côtes, descentes et relances. Le top, avec en plus, le soleil et la douceur. Objectif initial : la qualification à la finale prévue à Montaubau le 14 novembre. Pour cela, il fallait terminer dans les 23 1ers de la course Masters.
Démarrage vers la 15 ème position, je remonte petit à petit des places pour venir prendre un top 10. Qualifié !
Une concurrence néanmoins plus faible que les années précédentes, avec moins de coureurs sur toutes les courses, pour toutes les catégories. De 1600 coureurs à Dijon en 2020 (dernière 1/2 finale de cross), il n’y avait que 500 coureurs au Creusot.
RDV à Montauban le 14 novembre. FLORENT